Exploration approfondie de la franc-maçonnerie en France : de son impact politique à ses controverses, plongez dans les coulisses d'une société secrète. Image emblématique du Parlement français
La société secrète connue sous le nom de franc-maçonnerie suscite un intérêt croissant et soulève des controverses en raison de son influence politique.
Selon une source du Le Salon Beige, bien que les francs-maçons ne représentent que 0,34 % des électeurs, ils constituent environ 40 % des parlementaires.
Serge Abad-Gallardo, ancien fonctionnaire et ancien membre des loges maçonniques du Droit humain, révèle des informations pertinentes sur cette société dans son nouveau livre, ce qui a suscité des interviews et des discussions dans les médias.
L'une des principales questions soulevées concerne la relation entre la franc-maçonnerie et l'Église. Abad-Gallardo souligne que, malgré les dénégations de certains dignitaires maçonniques, l'opposition à l'Église persiste.
Cette opposition se manifeste de deux manières : directe et frontale, comme en témoignent les déclarations virulentes du Grand Orient de France lors des débats sur le "mariage pour tous" en 2012 ; ou indirecte et dissimulée, à travers une technique comparable au célèbre cheval de Troie.
L'auteur explique que la technique utilisée par la franc-maçonnerie, notamment par la Grande Loge nationale française (aujourd'hui divisée en GLNF et GL-AMF), consiste à maintenir la croyance selon laquelle il est possible d'être à la fois catholique et franc-maçon, malgré les déclarations officielles du Vatican réfutant cette possibilité depuis 1738.
Abad-Gallardo démontre que la conception maçonnique de "dieu" en tant que "Grand Architecte de l'Univers" diffère profondément du concept trinitaire chrétien.
Cette contradiction révèle la dissimulation présente au sein de la franc-maçonnerie.
Quant à l'idéologie politique de la franc-maçonnerie, il existe des obédiences de gauche, telles que le Grand Orient et le Droit humain, ainsi que de "droite", comme la Grande Loge de France et la Grande Loge nationale française.
Cependant, ces obédiences, quelle que soit leur orientation politique, sont principalement progressistes, mondialistes, réformistes et parfois favorables à la "déconstruction". Abad-Gallardo souligne que la conception maçonnique du mariage, par exemple, a influencé la vision du couple comme un contrat entre deux personnes, plutôt qu'une union sacrée devant Dieu.
Cela reflète la quête constante de la franc-maçonnerie pour le progrès et son intention de façonner la société selon sa propre vision.
Par le biais de mesures législatives, la franc-maçonnerie cherche à promouvoir des transformations sociales qui vont à l'encontre des principes judéo-chrétiens qui ont façonné la civilisation occidentale.
Abad-Gallardo affirme que la société maçonnique souhaite voir émerger un "nouvel homme" androgyne, capable de décider de sa propre vie et de sa mort.
Cette vision transgressive alimente l'agenda maçonnique, perpétuant ainsi une révolution constante.
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